«Enracinant la volonté du peuple en tant que fondement de tout système démocratique… Se référant au principe des élections en tant règle fondamentale du système républicain… Compte tenu du rôle historique du Président Zine El Abidine Ben Ali dans la promotion de la Tunisie à des rangs bien avancés dans tous les domaines, notamment dans son rôle d’avant-garde dans l’édification d’une démocratie mature qui a garanti à la Tunisie la stabilité, le développement continu avec une large participation populaire… Etant convaincus que le changement dans sa phase actuelle ouvre sur des perspectives larges et de grandes ambitions dont le garant est la continuation par le Président Zine El Abidine Ben Ali de la direction du projet national en vue de maintenir la sécurité et la sérénité dans le présent et le futur… Nous lançons notre appel au Président Zine El Abidine Ben Ali pour le solliciter d’accepter de présenter une nouvelle candidature pour le nouveau mandat présidentiel (2014-2019). Afin qu’il poursuive le chemin qu’il a entamé avec son peuple…Considérant l’ampleur de la responsabilité et la grandeur de la mission, nous souhaitons que le Chef de l’Etat réponde de nouveau par un “oui” à l’appel du devoir pour le bien de la Tunisie et la consolidation de ses acquis et ses succès.»
Les signataires de l’Appel des 1000, Le Temps, 20 août 2010
mercredi 29 septembre 2010
jeudi 23 septembre 2010
Tunisie : du bon usage des classements internationaux
Les classements internationaux de la Tunisie sont positifs. Il n’y a pas mieux que ces classements et notamment le plus prestigieux, celui de Davos où le pays occupe, désormais le 32ème, pour garder le moral et s’en prévaloir vis à vis des institutions internationales ou d'éventuels investisseurs d’autant plus qu’ils sont établis par des experts mondialement connus et peu suspects de complaisance. Ils nous permettent, également, de nous situer par rapport aux pays similaires et souvent concurrents et même des pays plus avancés pour mesurer la distance qui nous sépare d’eux.
Il faut, cependant en faire bon usage. Continuer dans la même voie avec une ardeur redoublée quand les classements sont favorables; rectifier le tir, quand ils ne le sont pas, avec l’optimisme de la volonté et sans se laisser décourager pour améliorer davantage le rang de la
Tunisie et pour éviter autant que faire se peut, de tomber dans l’autosatisfaction béate ou dans l’autoflagellation démoralisatrice.
Un indice qui ne trompe pas: depuis des années, la Tunisie s’est fait un point d’honneur de publier autant les bons que les mauvais classements. Une façon d’exprimer sa volonté d’en tirer les enseignements appropriés et d’inciter les forces vives de la nation à s’investir davantage dans l’oeuvre de développement.
Grâce au climat de paix civile, de stabilité politique, de consensus populaire autour des choix définis par le président Ben Ali et de croissance soutenue et continue, la Tunisie peut toujours mieux faire.
Il faut, cependant en faire bon usage. Continuer dans la même voie avec une ardeur redoublée quand les classements sont favorables; rectifier le tir, quand ils ne le sont pas, avec l’optimisme de la volonté et sans se laisser décourager pour améliorer davantage le rang de la
Tunisie et pour éviter autant que faire se peut, de tomber dans l’autosatisfaction béate ou dans l’autoflagellation démoralisatrice.
Un indice qui ne trompe pas: depuis des années, la Tunisie s’est fait un point d’honneur de publier autant les bons que les mauvais classements. Une façon d’exprimer sa volonté d’en tirer les enseignements appropriés et d’inciter les forces vives de la nation à s’investir davantage dans l’oeuvre de développement.
Grâce au climat de paix civile, de stabilité politique, de consensus populaire autour des choix définis par le président Ben Ali et de croissance soutenue et continue, la Tunisie peut toujours mieux faire.
lundi 20 septembre 2010
Tunisie : le salut du drapeau un vecteur de citoyenneté
Le salut du drapeau obéira à partir de la présente année scolaire 2010-2011 à un rituel solennel, histoire de former des citoyens à part entière. Or, cette nouveauté n’a pas cessé de provoquer des réactions négatives venues de milieux connus par leur négativisme.
En effet, l’école reste le lieu de socialisation par excellence et d’apprentissage de la citoyenneté Un concept dont l’urgence n’est plus à démontrer à l’heure de la montée d’un individualisme exacerbé chez les jeunes et les moins jeunes. La citoyenneté implique des valeurs et des idéaux communs que la communauté nationale a en partage. Etre citoyen, c’est avoir un sens aigu d’appartenance à la collectivité, faire transcender l’intérêt général sur l’intérêt individuel égoïste, faire preuve d’exemplarité pour enraciner des valeurs et principes chez les jeunes générations.
En d’autres termes, la citoyenneté est à traduire à travers les attitudes et les comportements quotidiens. Elle n’est pas un organigramme. Elle s’apprend partout au sein de la famille, à l’école et dans la rue. Elle véhicule des codes sociaux et moraux qui se transmettent de génération en génération.
Dans le foisonnement des décisions qui marquent la rentrée scolaire (2010/2011), l’école cherche à inculquer davantage dans l’esprit et le comportement des élèves, l’amour de la patrie, à leur faire prendre conscience de leur responsabilité envers le pays, et à enraciner en eux, comme c’était le cas pour leurs parents et arrière grands parents, le sens du sacrifice pour la patrie. Une noble ambition que l’institution éducative compte rendre effective à travers un rituel solennel. Les élèves seront, en effet, tenus de saluer le drapeau chaque jour en salle de classe, en entonnant l’hymne national et en donnant lecture à une charte dont voici le texte : «Je salue le drapeau, par loyauté envers la Tunisie, par fidélité à ses martyrs et pour le triomphe des valeurs de la République: Ordre, liberté et justice». Belle avancée sur la voie de la modernité politique. Belle victoire de la citoyenneté aux couleurs des élèves.
En effet, l’école reste le lieu de socialisation par excellence et d’apprentissage de la citoyenneté Un concept dont l’urgence n’est plus à démontrer à l’heure de la montée d’un individualisme exacerbé chez les jeunes et les moins jeunes. La citoyenneté implique des valeurs et des idéaux communs que la communauté nationale a en partage. Etre citoyen, c’est avoir un sens aigu d’appartenance à la collectivité, faire transcender l’intérêt général sur l’intérêt individuel égoïste, faire preuve d’exemplarité pour enraciner des valeurs et principes chez les jeunes générations.
En d’autres termes, la citoyenneté est à traduire à travers les attitudes et les comportements quotidiens. Elle n’est pas un organigramme. Elle s’apprend partout au sein de la famille, à l’école et dans la rue. Elle véhicule des codes sociaux et moraux qui se transmettent de génération en génération.
Dans le foisonnement des décisions qui marquent la rentrée scolaire (2010/2011), l’école cherche à inculquer davantage dans l’esprit et le comportement des élèves, l’amour de la patrie, à leur faire prendre conscience de leur responsabilité envers le pays, et à enraciner en eux, comme c’était le cas pour leurs parents et arrière grands parents, le sens du sacrifice pour la patrie. Une noble ambition que l’institution éducative compte rendre effective à travers un rituel solennel. Les élèves seront, en effet, tenus de saluer le drapeau chaque jour en salle de classe, en entonnant l’hymne national et en donnant lecture à une charte dont voici le texte : «Je salue le drapeau, par loyauté envers la Tunisie, par fidélité à ses martyrs et pour le triomphe des valeurs de la République: Ordre, liberté et justice». Belle avancée sur la voie de la modernité politique. Belle victoire de la citoyenneté aux couleurs des élèves.
vendredi 17 septembre 2010
Tunisie : A quand l’alternance au sein des partis de l’opposition ?
L’alternance au sein des partis d’opposition, si elle indiffère peu ou prou les Tunisiens, semble se placer au cœur des préoccupations de leurs membres. Les rivalités battent leur plein entre les cadres de ces mouvements, et les candidatures se multiplient pour briguer le poste de numéro un. Des signes avant-coureurs de scission se font jour au sein de certains partis proches du pouvoir en l’occurrence, le Parti de l’Unité Populaire (PUP), l’Union Démocratique Unioniste (UDU), et le Parti Social Libéral (PSL). Pomme de discorde : la course à la direction. La reconduction de Mondher Thabet (PSL), Mohamed Bouchiha (PUP), et d’Ahmed Inoubli (UDU), se trouve ainsi hypothéquée, et la concurrence se révèle être rude lors des prochains congrès électifs.
C’est tout à fait normal que désaccords aient lieu au sein d’un mouvement politique. C’est l’essence même de l’action politique que d’avoir de l’ambition, et de vouloir gravir les échelons des instances dirigeantes d’un mouvement au sein duquel on milite, et auquel on a adhéré par conviction et par accord avec son idéologie, sa ligne politique, et son programme. Concrètement, le débat d’idées au sein des partis politiques s’illustre principalement par la participation de ce parti à l’animation de la vie politique, et du débat public, par des contre-propositions crédibles dans des secteurs clefs de l’économie, de l’éducation, de la santé, de la recherche scientifique, de l’emploi, etc. Un parti politique se doit de s’impliquer dans les choix stratégiques du pays, et contribuer, si besoin est, à les corriger, et à les enrichir.
Une règle de base s’il en est, qui ne s’applique pas toujours à la réalité des partis de l’opposition tunisienne. Les mouvements d’opposition parlementaires, dans leurs différentes mouvances, socialiste, libérale, nationaliste, progressiste, sont immatures, et ressemblent plutôt à des projets inachevés, et sans réels objectifs.
En mal de légitimité et de crédibilité, les partis d’opposition sont en rupture avec la base, et s’appauvrissent d'une force de proposition digne de ce nom. Leurs priorités ne sont pas claires, leur voix est inaudible, et leur action peu perceptible. Focaliser sur la succession au premier responsable est, de ce fait, totalement incongru, car, cela donne l’impression que les partis font passer les querelles personnelles, avant les problématiques de fond, qui, intéressent, le présent et l’avenir des Tunisiens Exemple et non des moindres, la Tunisie s’apprête à s’engager dans une réforme cruciale du régime des retraites ; où en sont les partis d’opposition de ce débat, et de ses corollaires : vieillissement de la population, déficit des caisses sociales, chômage, etc. Se cantonner dans des querelles de chapelle, s’occuper de sa petite personne, et de sa carrière politique, serait-il plus important que de contribuer à un débat décisif qui engage le présent et l’avenir des Tunisiens ?
L’opposition tunisienne a urgemment besoin d’une profonde remise en cause, d’une révolution des mentalités et d’une rénovation structurelle. Son atonie n’a que trop duré. Il ne s’agit pas de changer les hommes, car ce ne sera que bonnet blanc, blanc bonnet, mais de changer la conception et les idées sous-jacentes à ces entités sensées apporter de la valeur ajoutée à la vie politique et intellectuelle dans le pays.
C’est tout à fait normal que désaccords aient lieu au sein d’un mouvement politique. C’est l’essence même de l’action politique que d’avoir de l’ambition, et de vouloir gravir les échelons des instances dirigeantes d’un mouvement au sein duquel on milite, et auquel on a adhéré par conviction et par accord avec son idéologie, sa ligne politique, et son programme. Concrètement, le débat d’idées au sein des partis politiques s’illustre principalement par la participation de ce parti à l’animation de la vie politique, et du débat public, par des contre-propositions crédibles dans des secteurs clefs de l’économie, de l’éducation, de la santé, de la recherche scientifique, de l’emploi, etc. Un parti politique se doit de s’impliquer dans les choix stratégiques du pays, et contribuer, si besoin est, à les corriger, et à les enrichir.
Une règle de base s’il en est, qui ne s’applique pas toujours à la réalité des partis de l’opposition tunisienne. Les mouvements d’opposition parlementaires, dans leurs différentes mouvances, socialiste, libérale, nationaliste, progressiste, sont immatures, et ressemblent plutôt à des projets inachevés, et sans réels objectifs.
En mal de légitimité et de crédibilité, les partis d’opposition sont en rupture avec la base, et s’appauvrissent d'une force de proposition digne de ce nom. Leurs priorités ne sont pas claires, leur voix est inaudible, et leur action peu perceptible. Focaliser sur la succession au premier responsable est, de ce fait, totalement incongru, car, cela donne l’impression que les partis font passer les querelles personnelles, avant les problématiques de fond, qui, intéressent, le présent et l’avenir des Tunisiens Exemple et non des moindres, la Tunisie s’apprête à s’engager dans une réforme cruciale du régime des retraites ; où en sont les partis d’opposition de ce débat, et de ses corollaires : vieillissement de la population, déficit des caisses sociales, chômage, etc. Se cantonner dans des querelles de chapelle, s’occuper de sa petite personne, et de sa carrière politique, serait-il plus important que de contribuer à un débat décisif qui engage le présent et l’avenir des Tunisiens ?
L’opposition tunisienne a urgemment besoin d’une profonde remise en cause, d’une révolution des mentalités et d’une rénovation structurelle. Son atonie n’a que trop duré. Il ne s’agit pas de changer les hommes, car ce ne sera que bonnet blanc, blanc bonnet, mais de changer la conception et les idées sous-jacentes à ces entités sensées apporter de la valeur ajoutée à la vie politique et intellectuelle dans le pays.
mercredi 15 septembre 2010
Tunisie : L’engagement politique aux couleurs de la jeunesse
En Tunisie, l’implication des jeunes dans la vie politique à travers les consultations nationales auxquelles les jeunes ont activement pris part, et notamment à travers le Dialogue global avec les jeunes en 2008 et le démarrage des travaux du Parlement des jeunes au mois de juillet dernier est donnée majeure du processus démocratique. Cette orientation permet de valider l’idée générale et généreuse selon laquelle les jeunes sont contents et créatifs lorsqu’ils s’inscrivent dans des débats, des dynamiques, des flux de pensée qui pourront être ce qu’ils veulent prolixes ou denses, mais dont la communauté nationale et internationale attendent qu’ils soient productifs de rencontres, d’idées inédites, de formulations intéressantes, de découvertes inattendues, surtout de mises en mouvement constituant de l’avenir en acte. Une croissance en complexification de l’ensemble du champ cognitif des jeunes du monde qui se structure, se densifie, se mature. C’est cette croissance en qualité d’être, qui fait mûrir chez les jeunes les qualités de respect, de fraternité, de justice, autant de valeurs éthiques qui leur permettent de sortir des rapports d’aliénation ou de vacuité ontologique et d’être à la fois une grande force de patriotisme et un riche potentiel de création à l’échelle de toutes les sociétés humaines.
A une période où se multiplient les interrogations sur le devenir des sociétés, alors que le monde est confronté à un ensemble inédit de problèmes, de possibilités et d’exigences, le défi théorique qui se pose à toutes les forces vives du pays est de pouvoir dépasser la prolifération des informations et le caractère éphémère de bien d’idées pour tenter de proposer des éléments d’analyse et de compréhension en profondeur des évolutions et des enjeux de notre époque. Les nombreuses consultations nationales avec décidées par le Président Ben Ali ont toutes pour objet de cerner les formes d’analyse rationnelle dans le champ des diverses questions de l’économie, de la culture et de la société. Les jeunes ont intelligemment montré qu’on ne peut pas poser ces problématiques sans mettre au centre l’homme tunisien en tant qu’étant et agissant historique, dans l’immanence de l’histoire. Le potentiel des questions est très fort et s’accompagne d’une énorme énergie créative. L’objectif étant d’armer politiquement et intellectuellement les jeunes et de montrer ce que sont les sociétés ouvertes qui ne s’effraient pas face aux jeunes qui osent réfléchir et proposer pour construire ensemble un avenir meilleur.
A une période où se multiplient les interrogations sur le devenir des sociétés, alors que le monde est confronté à un ensemble inédit de problèmes, de possibilités et d’exigences, le défi théorique qui se pose à toutes les forces vives du pays est de pouvoir dépasser la prolifération des informations et le caractère éphémère de bien d’idées pour tenter de proposer des éléments d’analyse et de compréhension en profondeur des évolutions et des enjeux de notre époque. Les nombreuses consultations nationales avec décidées par le Président Ben Ali ont toutes pour objet de cerner les formes d’analyse rationnelle dans le champ des diverses questions de l’économie, de la culture et de la société. Les jeunes ont intelligemment montré qu’on ne peut pas poser ces problématiques sans mettre au centre l’homme tunisien en tant qu’étant et agissant historique, dans l’immanence de l’histoire. Le potentiel des questions est très fort et s’accompagne d’une énorme énergie créative. L’objectif étant d’armer politiquement et intellectuellement les jeunes et de montrer ce que sont les sociétés ouvertes qui ne s’effraient pas face aux jeunes qui osent réfléchir et proposer pour construire ensemble un avenir meilleur.
mercredi 8 septembre 2010
Appels lancés au Président Ben Ali pour qu’il se porte candidat à l’élection présidentielle en 2014.
Le contrat de confiance
Les appels lancés au Président Ben Ali pour qu’il se porte candidat à l’élection présidentielle en 2014 sont significatifs par leur contenu et les perspectives qu’ils peuvent ouvrir à une nouvelle approche de la modernité. Les signataires de tous ces appels considèrent que le Président Zine El Abidine Ben Ali a ouvert depuis le 7 novembre 2007 de larges et réelles possibilités de réforme tous azimuts et qu’il a établi un contrat de confiance entre toutes les forces vives et un consensus autour des constantes de l’Etat national, des valeurs de la modernité, de la solidarité nationale et de l’invulnérabilité du pays.
Le projet sociétal qu’il a mis en place se veut en faveur d’une dialectique entre démocratie sociale et droite de l’homme ainsi qu’en faveur du courage et de la souveraineté dans les prises de décisions.
L’évolution sereine fait partie de la culture politique tunisienne, mais elle est aussi caractérisée par l’audace dans la réforme, comme ce fut le cas lors de l’amendement du Code du Statut Personnel, la promulgation de la loi sur les partis, la réforme constitutionnelle de 2002, la réforme du système d’enseignement et l’ouverture à la mondialisation. Et sans audace, la mise en mouvement de la modernité n’aurait pas pu se produire. Selon les signataires des appels lancés au président Ben Ali, le développement de la vie politique implique le la promotion de la richesse et de la diversité du paysage politique, la conscience de la part de l’opposition et du pouvoir des menaces et des défis, l’attachement aux valeurs de la République et l’adoption du référentiel intellectuel réformiste.
Les appels lancés au Président Ben Ali pour qu’il se porte candidat à l’élection présidentielle en 2014 sont significatifs par leur contenu et les perspectives qu’ils peuvent ouvrir à une nouvelle approche de la modernité. Les signataires de tous ces appels considèrent que le Président Zine El Abidine Ben Ali a ouvert depuis le 7 novembre 2007 de larges et réelles possibilités de réforme tous azimuts et qu’il a établi un contrat de confiance entre toutes les forces vives et un consensus autour des constantes de l’Etat national, des valeurs de la modernité, de la solidarité nationale et de l’invulnérabilité du pays.
Le projet sociétal qu’il a mis en place se veut en faveur d’une dialectique entre démocratie sociale et droite de l’homme ainsi qu’en faveur du courage et de la souveraineté dans les prises de décisions.
L’évolution sereine fait partie de la culture politique tunisienne, mais elle est aussi caractérisée par l’audace dans la réforme, comme ce fut le cas lors de l’amendement du Code du Statut Personnel, la promulgation de la loi sur les partis, la réforme constitutionnelle de 2002, la réforme du système d’enseignement et l’ouverture à la mondialisation. Et sans audace, la mise en mouvement de la modernité n’aurait pas pu se produire. Selon les signataires des appels lancés au président Ben Ali, le développement de la vie politique implique le la promotion de la richesse et de la diversité du paysage politique, la conscience de la part de l’opposition et du pouvoir des menaces et des défis, l’attachement aux valeurs de la République et l’adoption du référentiel intellectuel réformiste.
mardi 7 septembre 2010
Avec le président Ben Ali en 2014
Pour plus de cohésion sociale et de démocratie politique
Une chose est sûre. Avec le président Zine El Abidine Ben Ali pour un nouveau contrat politique pour la période 2009-2014, la Tunisie saura faire encore des efforts à faire pour atteindre un niveau démocratique synonyme de système politique évolué.
Le meilleur moyen d’y parvenir n’est pas d’affabuler ni d’exagérer plus que de raison les faits, même les plus banals, dans le but de les exploiter à des fins politiciennes. Il y a des secteurs où il y a des avancées notables. Il y en a d’autres où il faut encore faire des efforts.
On peut travailler à développer ces secteurs et obtenir des résultats sans s’en prendre violemment et à tout bout de champ au pouvoir et à ce que fait et construit la Tunisie au cours des deux dernières décennies dans le sens de la modernité et de la cohésion sociale. Certains pussent même le cynisme jusqu’à appeler à boycotter les échéances politiques de 2014. C’est scandaleux et contre-productif. Une lucidité que la plupart des militants des droits de l’homme en Tunisie espèrent contagieuse.
Une chose est sûre. Avec le président Zine El Abidine Ben Ali pour un nouveau contrat politique pour la période 2009-2014, la Tunisie saura faire encore des efforts à faire pour atteindre un niveau démocratique synonyme de système politique évolué.
Le meilleur moyen d’y parvenir n’est pas d’affabuler ni d’exagérer plus que de raison les faits, même les plus banals, dans le but de les exploiter à des fins politiciennes. Il y a des secteurs où il y a des avancées notables. Il y en a d’autres où il faut encore faire des efforts.
On peut travailler à développer ces secteurs et obtenir des résultats sans s’en prendre violemment et à tout bout de champ au pouvoir et à ce que fait et construit la Tunisie au cours des deux dernières décennies dans le sens de la modernité et de la cohésion sociale. Certains pussent même le cynisme jusqu’à appeler à boycotter les échéances politiques de 2014. C’est scandaleux et contre-productif. Une lucidité que la plupart des militants des droits de l’homme en Tunisie espèrent contagieuse.
lundi 6 septembre 2010
Droits de l’homme-Tunisie-Onu : La reconnaissance de la justesse d’une approche
La reconnaissance de nombreuses instances onusiennes de la justesse de l’approche développée par la Tunisie en matière de promotion et de protection des droits de l’homme est basée sur une appréciation objective et impartiale de ce qui se fait et se construit tous les jours dans ce domaine. Dans ce sens, la réélection la semaine dernière de la Tunisie comme membre du comité des droits de l’homme des Nations unies pour un quatrième mandat, et comme membre du comité des Nations unies pour les droits des personnes handicapées pour un deuxième mandat est incontestablement de nature à conférer à notre pays davantage de crédibilité et de prestige. Les contributions et les engagements de la Tunisie en matière de promotion et de protection des droits de l’homme au niveau international et au niveau national donnent toute sa consistance idéologique et son épaisseur politique à cette approche. La ratification des conventions internationales, la coopération avec les instances onusiennes chargées des questions des droits de l’homme, les organes nationaux chargés de la promotion et de la protection des droits de l’homme, les mesures législatives adaptées aux standards internationaux, la mise en mouvement du droit à la solidarité, le renforcement des droits de la famille, de la femme,de l’enfant, des personnes âgées et des personnes handicapées et la promotion des libertés individuelles et collectives constituent les coordonnées objectives de l’approche tunisienne en matière des droits de l’homme.
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